Cas clinique
Chirurgie avancée de la colonne vertébrale. Cas de succès
Le patient que nous vous présentons aujourd'hui est arrivé chez nous souffrant de douleurs intenses aux membres inférieurs qui, comme beaucoup de patients qui comptent sur nous au quotidien, l'empêchent de mener sa vie quotidienne et même de marcher normalement.
Préopératoire
Ce patient se trouve dans l'impossibilité de marcher seulement 15 mètres sans devoir s'arrêter en raison d'une claudication neurogène.
En plus de ressentir de fortes douleurs en marchant, il est assez difficile et douloureusement traumatisant pour lui de rester debout longtemps. Pour autant, il lui est impossible de mener une vie quotidienne normale.
Après les tests pertinents et l'étude exhaustive de votre cas, la nécessité d'une chirurgie de la colonne vertébrale avec notre méthode personnelle d'endoscopie avancée de la colonne vertébrale mini-invasive vous est indiquée afin que vous puissiez récupérer votre vie et oublier la douleur.
Opération
Après la sédation, une approche interlaminaire postérieure est réalisée sur le patient à travers une petite incision de seulement 3 mm dans la peau par laquelle on accédera à la zone où se situe la lésion.
Le ligament jaune est ouvert bilatéralement et la partie hypertrophiée qui comprime et ferme le canal est retirée, provoquant chez le patient une sténose sévère et des douleurs qui l'empêchent de marcher et de se tenir debout.
Une hémilaminectomie est réalisée jusqu'à ce que la libération adéquate des structures neurologiques qui traversent le canal vertébral soit vérifiée.
Une fois qu'il a été vérifié que le canal dispose de suffisamment d'espace et que toutes les parties atrophiées ont été retirées, une partie du TIP est retirée de la facette ascendante pour éviter une nouvelle compression des structures neurologiques.
Postopératoire
Après deux heures d'intervention chirurgicale qui se sont déroulées sans aucune complication, la période postopératoire s'est déroulée sans incident et le patient a rapidement commencé à marcher normalement et sans ressentir de douleur.
Il a lui-même signalé la disparition progressive des douleurs qu'il souffrait aux deux jambes, lui permettant de se tenir debout et de marcher comme il l'aurait fait avant le processus de compression. Le patient peut progressivement reprendre sa vie normale, en quittant l'hôpital avec un traitement prescrit de médicaments légers qui seront pris par voie orale.